Synopsis :
L'argent ne fait pas le bonheur... même quand on habite sur un square privé de Notting Hill,
l'adresse la plus branchée, la plus recherchée, la plus snob de Londres. Prenez Clare et Mimi. Elles ont moins de quarante ans, sont mariées, copines, voisines, mènent une existence de rêve.
Jusqu'au jour où débarque un milliardaire américain, célibataire et démon tentateur. Le ver est dans la pomme. Chassés-croisés amoureux et intrigues immobilières se succèdent sur la verte
pelouse. Ce coin de paradis si cher payé se révèle infernal. Notting Hill ? Notting Hell plutôt ! La tranquillité des beautiful people vole en éclats. Et le lecteur, lui, éclate de rire. Comédie
de moeurs dans un jardin anglais, Le Diable vit à Notting Hill est un roman hilarant. Son auteur, Rachel Johnson, journaliste et soeur du maire de Londres, connaît son square sur le bout de la
plume. Elle y a vécu pendant des années avant de le fuir...
Mon avis
:
Je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé ce livre, mais je ne peux pas dire que je l'ai vraiment aimé...
J'ai trouvé l'histoire sans grand intérêt, je me suis perdue dans les (trop ?) nombreux personnages. Dans l'histoire,
il y a beaucoup de référence à la France, du coup, on se demande si l'action se déroule vraiment à Nothing Hill.
Certes, ce livre fait un peu penser à la série télé américaine Desperate Housewives, dans le sens où on se
retrouve dans un quartier résidentiel, où tout le monde connaît et couche avec tout le monde. Mais la ressemblance s'arrête là. L'histoire est sans intérêt, on sait comment ça va se finir dès les
cinquante premières pages, l'action ne commence vraiment qu'à ce moment-là d'ailleurs... Ce livre n'a vraiment pas le charme et le suspense de cette série...
Sinon, c'est une histoire sympathique, qui se laisse lire facilement et rapidement, il y a quelques passages qui font
sourire, mais ce n'est certainement pas le meilleur livre de Chick-lit que j'ai
lu...
Bref, un moment lecture sympathique mais sans plus. Je ne vous le déconseille pas, mais si vous ne le lisez pas, ce ne
sera pas non plus une grosse perte.