"Cycle des chats, tome 1 : Demain les chats" de Bernard Werber

 

Synopsis :

À Montmartre vivent deux chats extraordinaires. Bastet, la narratrice qui souhaite mieux communiquer et comprendre les humains. Pythagore, chat de laboratoire qui a au sommet de son crâne une prise USB qui lui permet de se brancher sur Internet. Les deux chats vont se rencontrer, se comprendre s’aimer alors qu’autour d’eux le monde des humains ne cesse de se compliquer. A la violence des hommes Bastet veut opposer la spiritualité des chats. Mais pour Pythagore il est peut être déjà trop tard et les chats doivent se préparer à prendre la relève de la civilisation humaine. 

 

Mon avis :

J'ai complètement craqué sur la couverture de ce livre quand je suis tombée dessus à Emmaüs. J'avais vraiment envie d'en savoir plus donc je n'ai pas hésité bien longtemps avant de me l'offrir. Il a rejoint ma PAL mais y est resté un peu plus longtemps que prévu. Commencé puis abandonné pendant quelques semaines par manque de temps et d'envie de lire,je ne sais pas vraiment quoi penser de cette lecture...

Alors que le monde part en sucette, Bastet et Pythagore, deux chats voisins, se sont donnés pour mission de protéger l'humanité. Mais comment se faire comprendre de leurs servants humains afin de les sauver des fanatiques religieux et des rats porteurs de la peste ?

Il m'a fallu un peu de temps pour accrocher au style et à la plume de Bernard Werber, mais après ça, je me suis laissée embarquer. C'est bien écrit mais parfois difficile à lire avec ses passages philosophiques...

J'ai beaucoup aimé l'idée de départ de ce roman, à savoir que l'histoire est racontée par un chat. J'avais déjà lu des romans du point de vue de chien mais jamais avec celui des chats. J'ai aimé en savoir plus sur l'histoire des chats au fil des siècles. Par contre, l'histoire partait beaucoup trop sur la philosophie et ces passages là me semblaient interminables et sans grand intérêt.

Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages. Bernard Werber a parfaitement retranscrit le caractère des chats, on les reconnaît bien : supérieurs, arrogants et indépendants, leurs maîtres ne sont que leurs servants. La pire est Bastet, elle est même difficile à supporter.

Pour être tout à fait honnête, j'ai vraiment eu du mal à venir à bout de ce roman. Je n'avais qu'une hâte : le finir et passer à autre chose. J'ai refermé ce roman avec soulagement. Je ne sais pas comment Bastet et Pythagore vont s'y prendre pour mener à bien leur mission mais je ne suis même pas curieuse de le savoir...

Je suis contente d'avoir pu découvrir cette histoire mais je vais en rester là. Je pense que la plume et l'univers de Bernard Werber ne sont pas fait pour moi. J'aurais tenté mais l'expérience n'est vraiment pas concluante !

Bilan lecture du mois de Juillet 2025

               

 

Et voila, nous sommes déjà le premier du mois, il est maintenant temps de refaire le point sur mes lectures du mois passé !

Cliquez sur les couvertures pour lire mes avis 

Un seul livre lu en Juillet, pour un total de 352 pages !

Bien que je sois en vacances, l'envie de lire n'est pas vraiment présente et mon choix de lecture ne m'a pas vraiment aidé à retrouver l'envie..

Je ne sais pas ce que le mois d'août va donner, mais je ne me mets aucune pression, cela reviendra quand ça reviendra ! 

Côté acquisitions, un cadeau ce mois-ci... Je vous laisse découvrir tout ça !

 

Café Engel, tome 2 : Les années fatidiques de Anne Jacobs (Cadeau de fin d'année scolaire)  

 

Un seul nouveau  livre a rejoint ma Bibliothèque ce mois-ci. Ma PAL papier est donc de 166 livres ! Espérons que j'arrive à la réduire dans les mois qui viennent...

Voila, c'est tout pour cette fois-ci !

Je vous retrouve très vite pour de nouveaux avis livresques.

Bisous les Copinautes ! ♥
 

"Katie" de Michael McDowell

Synopsis :

Lorsque Philomela Drax reçoit une lettre de son riche et impotent grand-père, qui craint pour sa vie, désormais aux mains de la famille Slape, elle se précipite à son secours. Mais Katie Slape, douée de voyance, part à sa poursuite, des rues poussiéreuses d'un village du New Jersey aux trottoirs étincelants de Saratoga en passant par les quais brumeux de New York.

 

Mon avis :

Depuis ma lecture de sa saga « Blackwater », j'ai envie de découvrir tous les romans de Michael McDowell qui sont réédités dans la magnifique collection de Monsieur Toussaint Louverture. Celui-ci était le dernier en attente dans ma PAL, il me faisait terriblement envie mais dernièrement, j'avais du mal à me poser pour lire. Je n'ai donc pas pu m'y plonger aussi rapidement que je l'aurais voulu. C'est maintenant chose faite et sans grande surprise, j'ai beaucoup aimé !

Philomela et sa mère n'ont pas beaucoup d'argent mais leur vie est sur le point de changer lorsque son grand-père leur écrit qu'il craint pour sa vie et son argent. Bien décidée à l'aider, elle se rend chez son grand-père déguisée en domestique. Philomela est prête à tout pour le sortir des griffes de la famille Shape et en particulier de la dangereuse Katie...

Dès les premières pages, j'ai été embarquée par l'histoire. La plume de Michael McDowell est toujours aussi agréable à lire et addictive. C'est bien écrit, fluide, prenant et plein de rebondissements. On ne s'ennuie pas un seul instant et les pages se tournent toutes seules, tellement on a envie de savoir si les Slape vont payer pour leurs crimes.

Cette histoire est l'une des plus sanglantes que j'ai pu lire. Certains passages m'ont vraiment fait grimacer, tellement ils sont violents. Michael McDowell nous offre des histoires tellement « cinématographiques » que ces passages sont difficiles à lire parce qu'on visualise la scène sans aucun problème. Malgré cela, on est happé par l'intrigue et les pages défilent sans que l'on s'en rende compte...

Je suis toujours aussi fan des personnages que nous offre l'auteur. Je suis admirative face à Philomela. Malgré tous les drames qui jalonnent sa vie depuis qu'elle a fait connaissance avec les Slape, elle reste positive et déterminée à aller de l'avant. Je ne sais pas comment elle fait, je pense que je serai morte de peur et complètement paniquée si j'avais été à sa place. Gros coup de cœur pour Henry et Nedda, ce sont des gens comme on aimerait en côtoyer plus souvent ! Concernant les Slape, ils sont juste horribles mais la palme revient à Katie, elle fait froid dans le dos.

La fin est juste parfaite, je ne pouvais pas espérer mieux ! J'ai refermé ce roman avec la satisfaction de voir que les gentils ont gagné, malgré de nombreux sacrifices et que les méchants ont récolté ce qu'ils ont semé, c'est assez jouissif !

Sans grande surprise, j'ai beaucoup aimé ce nouveau roman de Michael McDowell ! Je suis à jour, mais il me tarde de pouvoir me replonger dans ses mots et son univers grâce aux magnifiques éditions de chez Monsieur Toussaint Louverture !

"La Femme de ménage, tome 2.5 : La femme de ménage se marie" de Freida McFadden

Synopsis :

Aujourd’hui est censé être le plus beau jour de la vie de Millie. La femme de ménage se marie avec Enzo, l’homme de ses rêves, et rien ne peut gâcher son bonheur. D’autant que ses parents, avec lesquels elle est brouillée depuis quinze ans, ont promis d’assister à la cérémonie.

Mais alors qu’elle devrait se préoccuper uniquement de sa robe et de sa coiffure, Millie est confrontée à un sérieux problème : quelqu’un ne veut pas qu’elle vive assez longtemps pour prononcer ses vœux. Quelqu’un qui épie ses faits et gestes, jusque dans sa chambre.

Prise au piège, Millie décide pourtant de ne pas se laisser intimider. Elle se mariera coûte que coûte, pour le meilleur et pour le pire. Mais le pire pourrait bien arriver plus tôt que prévu…

 

Mon avis :

N'ayant pas encore lu le troisième tome de cette saga, j'étais contente de pouvoir découvrir cette nouvelle dans l'histoire se déroule entre les opus 2 et 3. J'étais tellement curieuse d'en savoir plus qu'il n'a pas eu le temps de passer par la casse PAL. Malheureusement, il n'a pas été à la hauteur de mes espérances...

C'est le grand jour, Millie va enfin épouser Enzo. Alors que cette journée doit être la plus belle de sa vie, rien ne se passe comme prévu. Mais Millie est décidée à profiter de cette journée quoi qu'il arrive, et ce n'est pas l'homme qui la menace de mort qui va l'en empêcher...

Sans surprise,j'ai été embarquée par l'histoire dès les premières pages. La plume de Freida McFadden est toujours aussi agréable à lire et addictive. C'est fluide et prenant, les pages se tournent toutes seules.

Cette nouvelle est construite sur le même principe que les deux précédents tomes,  mais pour être tout à fait honnête, ce mini tome est une arnaque et ne sert strictement à rien. Il ne se passe pas grand-chose et cette intrigue n'était franchement pas nécessaire. Cela se lit facilement et rapidement mais j'ai refermé ce livre avec l'impression d'avoir perdu mon temps...

Je suis toujours aussi fan des personnages. Je suis admirative face à Millie, cette nana est incroyable. On la menace de mort le jour de son mariage et elle arrive à continuer sa journée (presque) normalement, j'en aurai clairement été incapable... Je suis toujours sous le charme d'Enzo, il est vraiment prêt à tout pour protéger la femme qu'il aime.

La fin est prévisible et sans grande saveur. J'ai tourné la dernière page en me disant « tout ça pour ça ».

Je suis extrêmement déçue de cette nouvelle, j'ai l'impression d'avoir perdu du temps et de l'argent. En faire un livre à part entière est ridicule, cette histoire aurait plus sa place en bonus à la fin du tome 2. Malgré la déception, cela ne m'empêchera pas de lire le troisième opus quand il sortira en poche mais je regrette d'avoir cédé à la tentation...

"La bibliothèque des petits miracles" de Freya Sampson

 

Synopsis :

Cachée derrière les rayonnages, June Jones, bibliothécaire timide et solitaire, aime s’imaginer la vie des lecteurs : la femme affable plongée dans des manuels de langue russe devient une espionne à l’excitante double vie, et le jeune homme au teint blafard qui joue sur son téléphone, un vampire fuyant le soleil.

Aussi est-ce tout naturellement que June se réfugie entre les pages de ses livres préférés quand l’établissement est brutalement menacé de fermeture. Mais Stanley, le gentleman retraité adepte de mots croisés, ou l’acariâtre Mrs B., qui n’a jamais déniché de livre trouvant grâce à ses yeux, ne l’entendent pas de cette oreille. Ils en sont persuadés : seule June peut convaincre le conseil régional de revenir sur sa décision. Et elle pourrait même se rendre compte qu’Elizabeth Bennet et Mr Darcy ne sont pas ses seuls amis…

Porté par des personnages aussi attachants qu’excentriques, un roman au charme so British qui met en lumière le rôle essentiel des bibliothèques dans nos communautés.

 

Mon avis :

J'ai complètement craqué pour le titre et la couverture de ce roman et son résumé m'a convaincu qu'il fallait que je le lise. J'ai mis du temps avant de le trouver d'occasion mais je me suis plongée dedans à peine arrivé dans ma PAL. Lu en quelques jours, j'ai beaucoup aimé !

Depuis le décès de sa mère, June ne vit que pour son travail à la bibliothèque de sa ville. Lorsque celle-ci est menacée de fermeture par le conseil municipal pour manque de budget, les habitués ne comptent pas les laisser faire. La résistance se met en place mais June est prise entre deux feux. Arrivera t-elle à faire passer le réel avant sa vie livresque ?

Dès les premières pages, j'ai été embarquée par l'histoire. La plume de l'auteure est agréable à lire, c'est bien écrit, et prenant. On ne s'ennuie pas, les pages se tournent toutes seules.

J'ai beaucoup aimé cette lecture ! Je l'ai lu à une période où j'avais grand besoin d'une lecture légère et sans prise de tête, elle était donc parfaite. Certes, l'histoire n'est pas des plus originales, on voit assez vite on veut en venir l'auteure mais ça se laisse lire. On sait que cela va bien finir et c'est agréable, je n'attendais rien d'autre de ce roman.

La galerie de personnages que nous offre l'auteure est intéressante. Je me suis reconnue en June. Il est tellement facile de se perdre dans les livres pour oublier le quotidien que je comprends parfaitement comment elle a pu en arriver à préférer la fiction à la réalité. Je suis tombée sous le charme d'Alex, ce jeune homme a vraiment tout pour lui et il est d'une bienveillance folle. J'ai eu un gros coup de cœur pour Stanley, il m'a profondément touché de part son histoire et sa gentillesse.

La fin est toute mignonne ! Ce dénouement était plus que prévisible mais on ne pouvait pas espérer mieux. J'ai refermé ce roman avec le fameux sourire niais plaqué sur le visage.

J'ai passé un très bon moment avec ce roman, même si je n'en garderai pas un souvenir impérissable. Je lui demandais seulement d'être une lecture légère, la mission est parfaitement accomplie !

Bilan lecture du mois de Juin 2025

               

 

Et voila, nous sommes déjà le premier du mois, il est maintenant temps de refaire le point sur mes lectures du mois passé !

Cliquez sur les couvertures pour lire mes avis 

  

3 livres lus en Juin, pour un total de 963 pages !

Encore un tout petit bilan, je n'arrive vraiment pas à me poser pour lire, même si l'envie est là. Les vacances d'été vont commencer et je n'ai pas grand chose de prévu, j'espère que ce temps libre sera propice à la lecture...

Côté acquisitions, un achat et un partenariat ce mois-ci... Je vous laisse découvrir tout ça !

 

 

 La femme de ménage se marie de Freida McFadden (Achat) LU

Le sang des génies de Coline Gatel (Service Presse)  LU

  

2 nouveaux livres ont rejoint ma Bibliothèque ce mois-ci. Ma PAL papier est donc de 165 livres ! Espérons que j'arrive à la réduire dans les mois qui viennent...

Voila, c'est tout pour cette fois-ci !

Je vous retrouve très vite pour de nouveaux avis livresques.

Bisous les Copinautes ! ♥
 

"Alabama 1963" de Ludovic Manchette et Christian Niemiec

Synopsis :

Birmingham, Alabama, 1963. Le corps sans vie d’une fillette noire est retrouvé. La police s’en préoccupe de loin. Mais voilà que d’autres petites filles noires disparaissent…

Bud Larkin, détective privé bougon, alcoolique et raciste, accepte d’enquêter pour le père de la première victime.

Adela Cobb, femme de ménage noire, jeune veuve et mère de famille, s’interroge : « Les petites filles, ça disparaît pas comme ça… »

Deux êtres que tout oppose. A priori. 

Mon avis :

Cela fait des années que j'entends parler de la plume de Manchette/Niemiec mais je n'étais pas plus intéressée que ça. Pourtant, lorsque je suis tombée sur ce titre à Emmaüs, je n'ai pas hésité bien longtemps. Ma curiosité a été la plus forte, à tel point que je me suis plongée dans cette lecture seulement quelques jours après qu'il ait rejoint ma PAL. Malheureusement, je ressors de cette lecture mitigée...

 

Des fillettes noires disparaissent et sont retrouvées sans vie. Le père de la première victime décide de faire appel à un détective privé blanc pour mener l'enquête puisqu'il n'a aucun confiance en la police. Bud Larkin finit par accepter mais se retrouve rapidement dans une impasse. Il va alors recevoir l'aide d'une alliée inattendue, une femme de ménage noire. Ils n'ont rien en commun mais leur duo pourrait bien révéler des surprises...

 

J'ai tout de suite été embarquée par l'histoire, les premières pages ont défilé toutes seules. Malheureusement, ma lecture s'est essoufflée assez rapidement, il m'a fallu plus d'un mois pour en venir à bout alors que j'aimais beaucoup l'histoire. Je ne saurais pas dire ce qui m'a posé problème, mais je suis là première déçue de cette lecture en demie teinte...

 

L'histoire en elle-même m'a beaucoup plu. L'idée de faire enquêter ensemble un homme blanc et une femme noire en pleine ségrégation raciale est une très bonne idée. Chacun a besoin de l'autre pour récupérer des informations dans sa communauté d'origine. La description de la société de cette époque est très réaliste et on y croit sans problème, même si on est révolté de lire ça à notre époque.

 

J'ai beaucoup aimé les personnages, j'ai un coup de cœur pour Adela. Cette femme est une vraie guerrière, je suis admirative de sa force et son courage. Bud est absolument détestable, il est l'archétype de l'homme blanc raciste et convaincu de sa supériorité. J'ai adoré suivre l'évolution de son personnage, on finit par se prendre d'affection pour lui.

 

J'ai été surprise par l'identité du coupable, je ne m'attendais pas à ça. J'avais imaginé pleinsde choses mais cette possibilité ne m'a jamais effleuré l'esprit. Pourtant, en y réfléchissant après coup, c'était le coupable idéal car insoupçonnable.

 

Je suis contente d'avoir découvert cette histoire même si je m'attendais sans doute à autre chose, vu que je n'arrive pas à m'expliquer qu'il m'ait fallu plus d'un mois pour en venir à bout. J'en suis un peu frustrée et je ne sais pas si je retenterai l'expérience Manchette/Niemiec...

"Le sang des génies" de Coline Gatel

Synopsis :

Lyon, 1899. Les fêtes de fin d'année sont passées et le professeur Alexandre Lacassagne n'a toujours pas de nouvelles de Félicien Perrier, criminologue, et d'Irina Bergovski, journaliste au Progrès de Lyon. Lorsqu'il se décide enfin à forcer leur porte, ce qu'il découvre dépasse de loin ce qu'il avait imaginé ! Pour sauver Félicien, rongé par la tuberculose, il n'a d'autre choix que de l'envoyer en Bavière, dans un sanatorium réputé. 

Mais, ce qui se passe "Là-Haut", comme les villageois du cru appellent l'établissement, est particulier. Des corps sont retrouvés, exsangues. Le fils du directeur disparait. 

Quelle est cette communauté, en quête de perfection, qui vit dans une grande ferme, en pleine nature ? Et, qui est cette femme, Mina, qui pose son dévolu sur Félicien, au point de le troubler ?
Même si le bateau-morgue sur le Rhône est bien loin, et malgré son état de santé alarmant, Félicien reprend du service, vite épaulé par Irina qui le rejoint. Ensemble à nouveau, parviendront-ils à dénouer les fils de cette étrange histoire ? 

 

Mon avis :

Je suis tombée amoureuse de la plume de Coline Gatel avec sa première saga « Les étrangers du temps » en 2012. Depuis, je me procure ses nouveaux romans sans me poser de questions et je n'ai jamais été déçue. Du coup, lorsque j'ai eu l'occasion de découvrir ce troisième et dernier tome en avant première, je n'ai pas hésité bien longtemps avant de me laisser tenter. Sans grande surprise, j'ai adoré !

 

Le professeur Lacassagne se fait du soucis pour Félicienet Irina dont il est sans nouvelles depuis des mois. Lorsqu'il finit par forcer leur porte, il découvreque la tuberculose ronge Félicien. Il décide alors de l'envoyer dans un sanatorium en Bavière. Alors qu'il est sensé se reposer, Félicienne peut s'empêcher de mener l'enquête malgré son état de santé lorsque des corps sont retrouvés exsangues et que le fils du directeur disparaît...

 

Dès les premières pages, j'ai été embarquée par l'histoire. La plume de Coline Gatel est toujours aussi agréable à lire et addictive. C'est bien écrit, fluide et prenant. On ne s'ennuie pas un seul instant et les pages se tournent toutes seules, tellement on a envie de connaître le fin mot de l'histoire. 

 

Je n'en doutais absolument pas mais j'ai vraiment adoré ma lecture. L'auteure nous entraîne toujours aussi facilement dans son univers. Les faits s'enchaînent et nous perdent toujours un peu plus. Comme avec ses précédents romans, on sent le travail de recherche fait en amont pour avoir un récit qui mêle les faits historiques et et ceux inventés. Cela apporte une vraie authenticité, l'histoire sonne vraie.

 

Je suis toujours aussi fan de la galerie de personnages que nous offre l'auteure. On adore détester Félicien et on est triste de ce qui lui arrive, même si on se dit qu'il le « mérite » un peu. Dans cette saga, Coline Gatel fait des clins d'œil aux lecteurs de sa première saga, cela fait toujours plaisir de recroiser Hadrien. La fan de la première heure des « Étrangers du temps » est ravie !

 

Quelle fin ! Les faits qui s'enchaînent et qui nous entraînent toujours vers de nouvelles pistes, finissent par nous perdre, à tel point qu'il est absolument impossible de deviner qui sont les coupables de cette histoire et on se laisse totalement surprendre par le dénouement. J'ai adoré la fin ouverte avec l'arrivée d'un nouveau personnage. Son arrivée laisserait-elle présager d'une nouvelle saga ? J'adorerai l'idée et mon petit doigt me dit que je ne suis peut-être pas si loin de la vérité...

 

J'avais adoré les précédents tomes mais je pense que celui-ci est mon préféré. Cette saga est magistrale et elle se conclue par un dernier tome époustouflant ! Je ne peux que vous la recommander !

 

Merci encore pour ta confiance Coline ! 

Bilan lecture du mois de Mai 2025

              

 

Et voila, nous sommes déjà le premier du mois, il est maintenant temps de refaire le point sur mes lectures du mois passé !

Cliquez sur les couvertures pour lire mes avis 

Seulement 2 livres lus en Mai, pour un total de 695 pages.

J'ai eu beaucoup de mal à prendre le temps de me poser pour lire et quand j'y arrivais, mon esprit n'était pas très coopératif, ce qui donne un tout petit bilan. Pas d'attente particulière pour le mois de juin, mais j'espère qu'il sera moins compliqué...

Côté acquisitions, des achats neufs et d'occasion ce mois-ci... Je vous laisse découvrir tout ça !

 

La bibliothèque des petits miracles de Freya Sampson (Achat occasion)

La vie rêvée des chaussettes orphelines de Marie Vareille (Achat occasion)

Bigoudis et petites enquêtes, tome 5 : Panique au festival du livre de Naëlle Charles (Achat occasion) 

D'origine inconnue de Linwood Barclay (Achat occasion)

 Demain  les chats de Bernard Werber (Achat occasion)

31 jours pour t'aimer de Sophie Jomain (Achat) 

 

6 nouveaux livres ont rejoint ma Bibliothèque ce mois-ci. Ma PAL papier est donc de 166 livres ! Espérons que j'arrive à la réduire dans les mois qui viennent...

Voila, c'est tout pour cette fois-ci !

Je vous retrouve très vite pour de nouveaux avis livresques.

Bisous les Copinautes ! ♥
 

"Chère Mamie, tu vas rire..." de Virginie Grimaldi

Synopsis :

Ce matin, la maîtresse nous a emmenés au musée à Bordeaux. C’était génial, enfin pas les peintures moches, mais de prendre le bus. Il y avait un cendrier argenté accroché au siège, et dedans j’ai trouvé un chewing-gum usagé. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’ai attrapé et j’ai commencé à le malaxer comme de la pâte à modeler. J’ai fait une boule, un serpent, un cœur, puis j’ai fini par un chapeau. Un tout petit mignon chapeau vert. Ah ça, tu m’aurais vue, j’étais fière de moi avec mon tout petit mignon chapeau vert posé sur ma tête. Tu le savais, toi, que le seul moyen d’enlever le chewing-gum sur les cheveux, c’est de les couper ? Papa dit que je ressemble à un playmobil.
Gros bisous à toi et à papy.
Ginie

 

Mon avis :

Ayant beaucoup aimé les précédents « Chère mamie », j'étais curieuse de découvrir celui-ci. Quand je suis tombée dessus à Emmaüs, je n'ai pas hésité un seul instant à me l'offrir. J'avais besoin d'une lecture rapide et sans prise de tête, c'était donc le moment idéal pour le sortir de ma PAL. Encore une fois, j'ai passé un très bon moment ! 

Dans ce troisième tome, Virginie Grimaldi raconte des événements plus ou moins marquants de sa vie sur une trentaine d'années à sa mamie, mais toujours avec beaucoup d'humour. 

C'est toujours aussi agréable à lire et drôle. On enchaîne les « cartes postales » qui nous font toutes sourire voir rire. 

J'aime vraiment beaucoup ce format. Les anecdotes racontées par l'auteure à sa mamie respirent la bonne humeur. On ressort de notre lecture avec le cœur rempli à ras bord d'amour ! 

 

Ces trois « Chère mamie » sont vraiment à lire et à relire à chaque baisse de morale. C'est le remède idéal pour retrouver le sourire !