Après quelques jours passés dans son superbe appartement, au huitième étage d’un immeuble ultramoderne, elle éprouve un malaise diffus, le sentiment d’être observée en permanence. Ses nuits sont agitées, des traumatismes passés reviennent la hanter.
Qui se cache derrière CASA, projet à visée philanthropique ? Que veut vraiment ce « bienfaiteur » ? Affaiblie par le drame qui a fait imploser son mariage, tenaillée par le doute, Clarissa s’interroge.
A-t-elle raison de se méfier ou cède-t-elle à la paranoïa, victime d’une imagination beaucoup trop fertile ?
Mon avis :
Clarissa Katsef, auteure à succès qui peine à retrouver l'inspiration, vient d'emménager dans une résidence pour artistes flambant neuve. Alors que cette idée de foyer artistique la ravie, une sensation de malaise ne la quitte pas. Elle se sent observée chez elle et d'étranges phénomènes se produisent. Après tout, que sait-elle de cette société qui lui loue son appartement de rêve ?
L'idée de départ de cette histoire m'a beaucoup plu mais je ne suis pas fan de ce qu'en a fait l'auteure, parce qu'elle nous laisse sur notre faim. Pour moi, l'intrigue commençait à être vraiment intéressante au moment même où l'auteure a clôturé son histoire. Elle nous laisse avec beaucoup de questions sans réponse, comme si cette histoire n'était pas finie. Cela me donne l'impression que l'auteure a écrit une partie de son histoire, l'a mise de côté pour faire autre chose et quelqu'un a pris le manuscrit inachevé pour le publier tel quel, c'est assez déroutant comme sensation, surtout que ce roman aurait pu être sensationnel vu son sujet et la façon dont il était abordé... Je trouve cela vraiment dommage.
Pour le coup, cette histoire est décevante, je m'attendais à autre chose... Malgré cela, je pense que ce roman ne sera pas le dernier Tatiana de Rosnay que je lirai, il semble juste être une erreur de parcours.
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