Synopsis :
" Si les particules toxiques qui proviennent d'un air vicié étaient perceptibles à la vue, nous les verrions peser en un épais nuage noir sur ces lieux. Mais si la peste morale qui les accompagne pouvait être rendue perceptible, quelle abominable révélation ! " Charles Dickens, Dombey et fils.
Angleterre, fin du XIXe siècle. À Londres s'entassent les classes laborieuses qui par tous les pores exsudent une infecte Fumée, preuve de leur noirceur intérieure et de leur infériorité. À la campagne vivent les aristocrates, d'une blancheur de lys et qui ne fument jamais, signe de leur vertu et de leur droit à gouverner.
Dans un internat d'élite, Thomas et Charlie, seize ans, s'exercent sans relâche à dompter leurs instincts afin de ne pas fumer. Mais le doute les tenaille : comment se fait-il que l'un de leurs congénères, un vrai petit tyran, soit épargné par la marque du vice ? Avec l'aide de la ravissante et très prude Livia, ils enquêtent sur la nature réelle de la Fumée. Et découvrent que l'ordre établi est fondé sur une scandaleuse duperie.
Dès lors, une lutte à mort s'engage entre eux et la police politique. C'est la guerre de la passion contre la raison, du désir contre la bienséance, du droit contre l'injustice – même si leurs frontières sont souvent imprécises.
" Si les particules toxiques qui proviennent d'un air vicié étaient perceptibles à la vue, nous les verrions peser en un épais nuage noir sur ces lieux. Mais si la peste morale qui les accompagne pouvait être rendue perceptible, quelle abominable révélation ! " Charles Dickens, Dombey et fils.
Angleterre, fin du XIXe siècle. À Londres s'entassent les classes laborieuses qui par tous les pores exsudent une infecte Fumée, preuve de leur noirceur intérieure et de leur infériorité. À la campagne vivent les aristocrates, d'une blancheur de lys et qui ne fument jamais, signe de leur vertu et de leur droit à gouverner.
Dans un internat d'élite, Thomas et Charlie, seize ans, s'exercent sans relâche à dompter leurs instincts afin de ne pas fumer. Mais le doute les tenaille : comment se fait-il que l'un de leurs congénères, un vrai petit tyran, soit épargné par la marque du vice ? Avec l'aide de la ravissante et très prude Livia, ils enquêtent sur la nature réelle de la Fumée. Et découvrent que l'ordre établi est fondé sur une scandaleuse duperie.
Dès lors, une lutte à mort s'engage entre eux et la police politique. C'est la guerre de la passion contre la raison, du désir contre la bienséance, du droit contre l'injustice – même si leurs frontières sont souvent imprécises.
Mon avis :
Je suis tombée amoureuse de sa couverture dès que je l'ai vu pour la première fois et ça m'a donné envie d'en savoir plus. J'ai donc accepté le service presse sans me poser de questions. Avec les aléas de la Poste, j'ai bien cru qu'il n'arriverait jamais mais il a quand même fini par trouver le chemin jusqu'à ma boite aux lettres après près d'un mois d'errance. Cette attente forcée a attisé ma curiosité, à tel point qu'il n'est as resté bien longtemps dans ma PAL. C'est différent de ce à quoi je m'attendais, mais j'ai bien aimé !
Nous sommes à Londres, à la fin du XIXème siècle et le monde est divisé en deux catégories de gens : ceux dont le corps libère de la Fumée, preuve de leur noirceur et de leur vice et ceux qui ne fument pas, démontrant ainsi leur vertu et leur supériorité. Thomas et Charlie, internes dans un pensionnat réservé à l'élite, apprennent à contrôler leur Fumée. Ils s'étonnent que le pire d'entre eux, Julius, ne fume jamais malgré ses actes répréhensibles. Les deux amis décident donc de mener l'enquête et ce qu'ils découvrent pourrait bien remettre en cause l'ordre établi depuis des siècles...
J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, je n'y comprenais pas grand chose. Le démarrage est difficile, il faut du temps et de nombreuses pages pour réussir à comprendre où l'histoire nous emmène, même si par moment, on est de nouveau perdu dans cet univers semblable au notre et pourtant si différent. La plume de l'auteur est agréable à lire, bien qu'un peu lourde. L'auteur se perd un peu dans des descriptions qui trainent en longueur et qui par moment, perdent le lecteur, d'autant plus qu'elles n'apportent pas grand chose à l'histoire. J'avais l'impression de ne pas avancer dans ma lecture, malgré le fait que l'histoire me plaisait.
J'ai beaucoup aimé l'idée de départ. Cette histoire de Fumée qui cristallise nos pensées les plus profondes et qui dévoile notre impureté est brillante, d'autant plus que cette Fumée, ou plutôt son absence est synonyme de pouvoir. Si la Fumée était réelle, je crois bien que l'on vivrait dans le noir le plus total... Tous nos vices seraient visibles, on pourrait lire en nous comme dans un livre ouvert, c'est assez flippant comme idée.
J'ai bien aimé les personnages parce qu'ils ne sont pas tout blanc ou tout noir. Chacun d'entre eux à une part de noirceur propre à la Fumée, mais ils ne sont pas définis que par ça. Par contre, j'ai trouvé qu'ils étaient bien trop nombreux et souvent avec des noms assez ressemblants. L'histoire est déjà difficile à suivre et le nombre impressionnant de personnages n'aide pas à s'y retrouver...
La fin m'a laissé sur ma faim. J'ai refermé ce livre en me disant "tout ça pour ça", c'est dommage. Je m'attendais à une fin explosive avec des révélations surprenants. Pour moi, ce dénouement n'est pas du tout à la hauteur de cette histoire brillante...
Si j'ai bien aimé l'histoire en elle-même, la complexité de l'intrigue, la plume trop descriptive de l'auteur et une fin très décevant ne m'ont pas convaincu. C'est vraiment dommage, parce que cette histoire avait beaucoup de potentiel. Cela dit, ce roman nous pousse à réfléchir sur le bien, le mal, le pouvoir, la foi et l'amour, et ce n'est déjà pas si mal... ^^
Nous sommes à Londres, à la fin du XIXème siècle et le monde est divisé en deux catégories de gens : ceux dont le corps libère de la Fumée, preuve de leur noirceur et de leur vice et ceux qui ne fument pas, démontrant ainsi leur vertu et leur supériorité. Thomas et Charlie, internes dans un pensionnat réservé à l'élite, apprennent à contrôler leur Fumée. Ils s'étonnent que le pire d'entre eux, Julius, ne fume jamais malgré ses actes répréhensibles. Les deux amis décident donc de mener l'enquête et ce qu'ils découvrent pourrait bien remettre en cause l'ordre établi depuis des siècles...
J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, je n'y comprenais pas grand chose. Le démarrage est difficile, il faut du temps et de nombreuses pages pour réussir à comprendre où l'histoire nous emmène, même si par moment, on est de nouveau perdu dans cet univers semblable au notre et pourtant si différent. La plume de l'auteur est agréable à lire, bien qu'un peu lourde. L'auteur se perd un peu dans des descriptions qui trainent en longueur et qui par moment, perdent le lecteur, d'autant plus qu'elles n'apportent pas grand chose à l'histoire. J'avais l'impression de ne pas avancer dans ma lecture, malgré le fait que l'histoire me plaisait.
J'ai beaucoup aimé l'idée de départ. Cette histoire de Fumée qui cristallise nos pensées les plus profondes et qui dévoile notre impureté est brillante, d'autant plus que cette Fumée, ou plutôt son absence est synonyme de pouvoir. Si la Fumée était réelle, je crois bien que l'on vivrait dans le noir le plus total... Tous nos vices seraient visibles, on pourrait lire en nous comme dans un livre ouvert, c'est assez flippant comme idée.
J'ai bien aimé les personnages parce qu'ils ne sont pas tout blanc ou tout noir. Chacun d'entre eux à une part de noirceur propre à la Fumée, mais ils ne sont pas définis que par ça. Par contre, j'ai trouvé qu'ils étaient bien trop nombreux et souvent avec des noms assez ressemblants. L'histoire est déjà difficile à suivre et le nombre impressionnant de personnages n'aide pas à s'y retrouver...
La fin m'a laissé sur ma faim. J'ai refermé ce livre en me disant "tout ça pour ça", c'est dommage. Je m'attendais à une fin explosive avec des révélations surprenants. Pour moi, ce dénouement n'est pas du tout à la hauteur de cette histoire brillante...
Si j'ai bien aimé l'histoire en elle-même, la complexité de l'intrigue, la plume trop descriptive de l'auteur et une fin très décevant ne m'ont pas convaincu. C'est vraiment dommage, parce que cette histoire avait beaucoup de potentiel. Cela dit, ce roman nous pousse à réfléchir sur le bien, le mal, le pouvoir, la foi et l'amour, et ce n'est déjà pas si mal... ^^
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